C’est le résultat de l’analyse de 343 études parues dans diverses revues scientifiques. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une teneur en antioxydants supérieure de 18 à 69 % à celle observée dans les produits issus de l’agriculture non biologique, une concentration en cadmium, mercure et plomb près de 50 % inférieure, une teneur en azote, nitrates et nitrites respectivement plus faible de 10, 30 et 87 % et la présence de pesticides quatre fois moins élevée.
Alors, que penser de la méta-analyse publiée en 2009 par la Food Standards Agency qui affirmait qu’il n’existait pas de différence notable entre les deux grands modes d’agriculture ? Selon les auteurs de cette nouvelle analyse, des outils statistiques plus performants, capables d’agréger plus de données, ont permis d’arriver à cette conclusion. Est-ce vraiment la seule raison ?
M. Baranski, D. Srednicka-Tober, et coll. dans « British Journal of Nutrition », 2014.
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