En 1983, on enseignait déjà en fac de médecine que, d’ici 2 ou 3 générations, l’être humain ne serait plus capable de se reproduire naturellement. Les raisons ? La principale est la féminisation hormonale des hommes par le biais de la consommation alimentaire dans laquelle les hormones femelles sont pratiquement omniprésentes (soja, viande d’animaux poussés aux hormones, produits laitiers courants, bière, cola, etc.) – sans compter l’eau du robinet des grandes villes, couramment recyclée, dans laquelle on retrouve presque systématiquement des traces importantes de pilule anticonceptionnelle.
Parmi les 40 projets en cours du gouvernement mondial (Nouvel Ordre mondial), il y a « la fin de la procréation humaine naturelle ». Cela ne vous rappelle-t-il pas « Le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley ? Ceci débouchant bien sûr vers un eugénisme entièrement contrôlé en nombre et en qualité comme cela se fait déjà pour les végétaux et les animaux.
Concernant les humains, le constat actuel est clair : plus les couples sont chimiquement pollués, moins ils ont de capacité à se reproduire ; la nature met son sage veto pour éviter les monstruosités et les dégénérescences. Selon les chiffres fournis, déjà plus d’un couple sur cinq doit actuellement faire appel à une assistance médicale pour procréer. Les hommes sont souvent directement en cause – surtout les jeunes, leurs spermatozoïdes se raréfiant et manquant de vitalité – ce qui se constate aisément au microscope.
Bon, tout cela est finalement plutôt une bonne nouvelle quand on sait que l’accroissement de la population mondiale est dramatiquement de 80 millions par an, l’objectif d’une certaine idéologie politico-religieuse étant de conquérir le monde avec le ventre de leurs femmes… Et puis, autre bonne nouvelle, les femmes ne vont plus avoir besoin de s’empoisonner avec la pilule ! Mais attention messieurs, lorsque l’insémination artificielle sera la règle, les dames n’auront plus besoin de vous… si ce n’est pour se divertir. Ce sera l’avènement du matriarcat !
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