Plus de 70 % de la production mondiale de soja est OGM. Ainsi, en France, seulement un cinquième du soja utilisé pour nourrir le bétail est certifié non OGM. Cela signifie que tous les mangeurs de viande consomment quotidiennement des OGM.
Or, même si nous laissons de côté les effets délétères dégénératifs possibles au long court sur la santé, en particulier sur le génome, il a été démontré en laboratoire qu’à partir de la troisième génération d’animaux massivement nourris avec des aliments OGM, il se produit des dérives génétiques à la reproduction aboutissant finalement à la stérilité. Cela signifierait que l’acharnement du gouvernement mondial via l’OMC et le Codex alimentarius à implanter par tous les moyens des OGM dans l’alimentation pourrait s’inscrire dans un plan de réduction progressif de la population mondiale.
Quelques intégristes alimentaires se réjouiront de ce que la pérennité de notre descendance ne sera finalement assurée que par les végétariens, vu que les consommateurs de viande ne pourront plus se reproduire ! Mais ce n’est pas si simple, car la réglementation est tronquée, et permet jusqu’à 1 % d’OGM sans que cela soit signalé sur l’étiquette des denrées industrielles, et même dans le bio. Alors, c’est clair, en plus d’être depuis longtemps considéré comme toxique par la recherche indépendante (tant qu’il n’a pas été lacto-fermenté, ce qui, même dans le bio, n’est pratiquement jamais le cas), le soja n’est jamais garanti sans OGM.
Mais, direz-vous, pas de viande, pas de soja, où vais-je alors trouver mes indispensables protéines ? Je rappelle que les légumineuses sont plus riches en protéines que n’importe quelle viande – il s’agit bien sûr des haricots grains, des petits pois, des pois chiches et surtout des lentilles vertes et lentilles corail. Un régime végétarien équilibré nécessite la présence à chaque repas d’une de ces légumineuses, quelle que soit la recette de votre choix.
Toute reconversion demande un travail supplémentaire, c’est le prix à payer pour échapper à la fatalité.
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