Très fière des résultats « positifs » de la phase pilote lancée en 2009, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) vient d’annoncer la mise en place définitive de son programme Nutrivigilance.
Ce « dispositif de sécurité sanitaire » qui a pour but de traquer le moindre effet indésirable des compléments alimentaires aurait généré seulement 48 signalements en 2009, la plupart bénins.
Quand on sait que les médecins, principaux acteurs de cette chasse aux sorcières, prescrivent à longueur de journées des médicaments autrement plus dangereux et cela sous le regard bienveillant des autorités sanitaires, c’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité !
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