Il semble n’y avoir aucune fin à l’arrogance de la science médicale. C’est aujourd’hui la nature du système immunitaire de chaque nouveau-né que le lobby vaccinal a en ligne de mire.
En fait, le système immunitaire d’un nouveau-né ne ressemble pas du tout à celui d’un adulte ou même à celui d’un petit enfant. Au lieu de combattre les envahisseurs, il les accueille. La chose est logique parce que le fœtus dans le ventre de sa mère doit être en mesure d’accueillir tout ce qui passe au travers du placenta. Or, aussitôt la naissance, le système immunitaire qui acceptait toutes les substances étrangères, se met à les rejeter. Il faut environ six mois après la naissance pour que ce processus s’achève. Voilà pourquoi les vaccins auraient, paraît-il, tendance à mal fonctionner chez les nouveau-nés.
En dépit d’une absence de compréhension de cette inversion de processus naturel, la médecine a décidé de tenter de contraindre le système immunitaire des nourrissons à développer des anticorps lors des vaccinations. Ainsi, la découverte à l’hôpital pour enfants de Boston des effets du VTX-294 sur les globules blancs du sang de nouveau-nés… in vitro, a été saluée comme une grande percée. Or le VTX 294 est une benzazépine, proche des benzodiazépines. Le benzène est un produit toxique connu, associé au cancer ainsi qu’à des dommages neurologiques graves. Voilà ce qu’on envisage d’injecter aux nouveau-nés !
L’expérience nous montre qu’il n’y aura probablement pas de tests de sécurité du VTX-294. Il semble d’ailleurs qu’aucun des adjuvants actuels n’ait jamais été testé. Peu importe, une fois qu’ils sont ajoutés aux vaccins, ils sont considérés comme étant sans danger. Pourtant faut-il mentionner à nouveau le squalène, dont on a montré qu’il était cause de narcolepsie, le formaldéhyde cancérogène, le mercure neurotoxique, le polysorbate 80 perturbateur endocrinien, l’aluminium neurotoxique ?
Conclusion : gare aux prochains vaccins effectués juste après l’accouchement… Ne laissez jamais vacciner votre bébé – il est parfait et il n’a besoin, Mesdames, que de votre sein !
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