Quelle que soit la maladie articulaire – les principales sont l’arthrose et la maladie rhumatoïde – on retrouve toujours trois points communs : une inflammation responsable de douleur, une évolution qui remanie voire détruit le cartilage et l’os avoisinant, une diminution de la capacité de se mouvoir.
Parmi les éléments qui composent le cartilage, les plus importants sont les protéoglycanes, l’acide hyaluronique, les chondrocytes et le collagène de type II.
Au cours d’une atteinte articulaire, notre système immunitaire confond ce dernier avec une substance étrangère. Il se met donc à diriger contre lui une batterie d’anticorps. Le résultat de cette méprise est une altération du cartilage qui entraîne inflammation, douleur et diminution de la mobilité. Et cela quel que soit le principe initiateur, vieillissement, stress ou blessure.
En effet, lorsque l’inflammation atteint un certain seuil, le système immunitaire intervient en dépêchant des lymphocytes T killers (tueurs) qui stimulent la production d’anticorps. Ces derniers adhèrent au collagène de type II et provoquent ainsi la venue de macrophages, cellules « éboueuses ». Cette réaction aboutit à une aggravation de l’inflammation, et donc à la destruction progressive du cartilage.
Un collagène non dénaturé
Or on connaît aujourd’hui un type de collagène (le collagène UC-II) qui a la capacité de contrôler le processus inflammatoire. En effet, ce collagène non dénaturé, qui se présente comme une triple hélice, exerce un pouvoir antigénique bien particulier : celui de freiner l’inflammation, notamment en inhibant l’activation des lymphocytes T killers. Ainsi, le processus pathologique est interrompu à sa phase initiale.
Cette action a été confortée par plusieurs études – les premières datent de 1993 – montrant que la prise de UC-II permet la régénération et parfois la guérison des articulations malades.
L’UC-II est aujourd’hui disponible sous forme orale. Il est préparé à partir de sternum de poulet selon un processus respectueux de la molécule. Au niveau de l’intestin grêle – où siège la moitié de notre système immunitaire, il se comporte comme un interrupteur qui permet au système immunitaire digestif de retrouver un comportement plus satisfaisant, en particulier en n’agressant plus le cartilage.
Quelle que soit la pathologie articulaire, seuls 40 mg par jour suffisent, en une seule prise, soit un comprimé de Flex-Tonic. Il convient de prendre ce comprimé avec un verre d’eau, un peu avant le coucher, et à distance du dernier repas (au moins une heure et demie après).
Toutefois, il existe une contrainte, celle de devoir prendre cette complémentation nutritionnelle pendant des mois, parfois des années.
Où se procurer du Flex-tonic :
La Vie Naturelle
Tél. : 0 800 404 600
Site : www.la-vie-naturelle.com
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